Story Behind the Song
Ce morceau fut créé dans le grenier de notre guitariste alors que nous étions en pleine crise métaphysique. Nous avons ressenti le besoin d'exterioriser nos névroses schizoides dans cette composition de pure noirceur psychanalytique.
Lyrics
Le soleil se lève sur le carrousel des cannibales tandis que la grève est foulée par les voiles
C’est ainsi que naquirent les premières primevères qui parcourent le monde à l’envers
Pour la première fois les cornemuses ne s’usent que si l’on s’en sert, c’est ainsi que le petit frère mangea pour la première fois du camembert.
Les faucons virevoltent comme des sémaphores dans les colères de la nuit des temps
Sidonie sait-elle que son lit se nourrit de l’âme des exilés de Paris ?
Existe t’il en ce monde, des palombes blondes aux colères nauséabondes ?
Sommes nous les derniers résistants, d’un nouvel ordre transcendant ?
Sommes nous les derniers résistants, d’un nouvel ordre transcendant ?
Sommes nous les derniers résistants, d’un nouvel ordre transcendant ?
As tu vécu les drames qui maltraitent Notre-Dame, as tu connu les flammes qui brûlent nos Tam-tam ?
Es-tu une tarentule qui se nourrit de tulle, es-tu le funambule et son poisson bubule ?
La vie est une épreuve, pour ça oui j’ai des preuves, les mouettes s’en émeuvent et les éperviers pleuvent.
Le croque-morts est adepte du sport pour cacher tous ses trésors, tandis que la ville s’endort, les avares roulent sur l’or.
Les avares roulent sur l’or.
Les avares roulent sur l’or.
Hier soir j’ai glissé sur une dalle, elle était sinusoïdale, je me suis cassé la cheville, je ne boirais plus d’eau de vie.
J’ai sombré dans la dépression en attendant la translation, j’ai découvert le lapin vert qui vit du sel de la colère.
Mon excroissance oui tu y penses, pour peupler plus la terre de France, connais tu les châteaux en Espagne de ce bon vieux roi Charlemagne ?
La victoire est bien dérisoire pour qui attend son heure de gloire, dans les manoirs de vieux chats noirs savourent les croquettes à la poire.
Comment sentir a nouveau luire l’espoir d’un avenir sans cire ? Les diktats de la parafine auront bien raison de Delphine. Comment gagner sans perdre tout, quand les fainéants on la toux ? Les cannibales du carrousel ne te mangeront pas sans sel.
As tu vécu les drames qui maltraitent Notre-Dame, as tu connu les flammes qui brûlent nos Tam-tam ?
La vie est une épreuve, pour ça oui j’ai des preuves, les mouettes s’en émeuvent et les éperviers pleuvent.
Hier soir j’ai glissé sur une dalle, elle était sinusoïdale, je me suis cassé la cheville, je ne boirais plus d’eau de vie.
Mon excroissance oui tu y penses, pour peupler plus la terre de France, connais tu les châteaux en Espagne de ce bon vieux roi Charlemagne ?
Avais-tu déjà les ch’veux roux avant de rentrer à la fac, étais-tu déjà dans les choux avant de devenir patraque.
Etais tu devenu mystique avant de croiser un moustique, avais tu déjà foi en toi avant de lui montrer ton pic
L’alchimie des dénégations est incluse dans la fondaison qui ravigore les fondations des remblayages de la station.
L’automne de nos vie est si proche quant on se balance sous le porche, ma vie est si désenchantée que même les papiers sont frippés.
Comment sentir a nouveau luire l’espoir d’un avenir sans cire ? Les diktats de la parafine auront bien raison de Delphine. Comment gagner sans perdre tout, quand les fainéants on la toux ? Les cannibales du carrousel ne te mangeront pas sans sel.
La transcendance infinie me saisit à présent comme les feuilles mortes en automne se laissent glisser le long des courants d’air, vers une destinée incertaine qui se joue au jeu du papillon du chaos. Les pensées qui sont miennes en ce moment ne dépendent que de l’influx de sensitivité que me donnent les cratères de la face cachée de la lune.
La sarriette fait son effet sur les plaies de l’âme, sans elle aucune musique n’est possible dans les abysses du matérialisme qui ravage le coeur de notre entité. J’irais même jusqu’à Bamjapur pour voir le coucher du soleil sur une mer d’hirondelles qui volent de leurs ailes de fer.
La vie est une épreuve, pour ça oui j’ai des preuves, les mouettes s’en émeuvent et les éperviers pleuvent.
J’ai sombré dans la dépression en attendant la translation, j’ai découvert le lapin vert qui vit du sel de la colère.
Avais-tu déjà les ch’veux roux avant de rentrer à la fac, étais-tu déjà dans les choux avant de devenir patraque.
La victoire est bien dérisoire pour qui attend son heure de gloire, dans les manoirs de vieux chats noirs savourent les croquettes à la poire.
Existe t’il en ce monde, des palombes blondes aux colères nauséabondes ?
Pour la première fois les cornemuses ne s’usent que si l’on s’en sert, c’est ainsi que le petit frère mangea pour la première fois du camembert.
Sommes nous les derniers résistants, d’un nouvel ordre transcendant ?
Sommes nous les derniers résistants, d’un nouvel ordre transcendant ?
Es-tu une tarentule qui se nourrit de tulle, es-tu le funambule et son poisson bubule ?
Hier soir j’ai glissé sur une dalle, elle était sinusoïdale, je me suis cassé la cheville, je ne boirais plus d’eau de vie.
L’alchimie des dénégations est incluse dans la fondaison qui ravigore les fondations des remblayages de la station.
La vie est une épreuve, pour ça oui j’ai des preuves, les mouettes s’en émeuvent et les éperviers pleuvent.
Sidonie sait-elle que son lit se nourrit de l’âme des exilés de Paris ?
Le soleil se lève sur le carrousel des cannibales tandis que la grève est foulée par les voiles
La transcendance infinie me saisit à présent comme les feuilles mortes en automne se laissent glisser le long des courants d’air, vers une destinée incertaine qui se joue au jeu du papillon du chaos. Les pensées qui sont miennes en ce moment ne dépendent que de l’influx de sensitivité que me donnent les cratères de la face cachée de la lune.
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