Story Behind the Song
Créé en une nuit de révolte et de desespoir métaphysique.
Lyrics
Les germes du roseau sont toujours plus rapides hors de l'eau
Tels les germes d’un temps nouveau, la Pâquerette grandit toujours le long des cours d’eau
Qui saurait inhiber la puissance céleste du crapeau, lorsque ce dernier s’ébroue dans les flaques d’eau ?
La vérité n’est que chimère au bord de la mer, lorsque chantent les trouverts pour avoir un peu d’air
Qui pourrait confondre les anges de la terre, alors que vit en nous le sang de nos grand-mères ?
Il est temps de faire la révolution, d’abandonner notre position sur l’inflation
Les tripes du cochon sont elles bonnes avec des cornichons, à moins que les cornichons ne soient bons avec les tripes de cochon ?
J’en ai marre de voir le regard des moutons hagards, j’en ai marre de voir la vie dans la nuit
J’en ai marre de voir le regard des moutons hagards, j’en ai marre de voir la vie dans la nuit
J’en ai marre de voir le regard des moutons hagards, j’en ai marre de voir la vie dans la nuit
J’en ai marre de voir le regard des moutons hagards, j’en ai marre de voir la vie dans la nuit
As-tu vu les étoiles, enveloppé dans une toile, as tu vu le tunnel, qui mène à l’éternel ?
Sais-tu c’que vit Marie, dans ce monde de bruit, sais-tu c’que vit Clémence dans ce monde d’intollerence ?
As-tu vu les étoiles, enveloppé dans une toile, as tu vu le tunnel, qui mène à l’éternel ?
Sais-tu c’que vit Marie, dans ce monde de bruit, sais-tu c’que vit Clémence dans ce monde d’intollerence ?
Et moi je me morfonds dans les tréfonds du subconscient, ne sachant ou aller, ne sachant ou passer
Je sais que la vérité n’est pas ou je la cherche, mais ou veux-je la chercher si je ne sais pas ou aller ?
Comment faire dans cette vie ou rien n’est possible, comment faire pour vivre quand le bleu est au vert ?
Je cherche au fond de l’armoire quelque vieux grimoire, qui me permettront de voir la vie comme un loir
Car je n’ai plus de miroir dans la chambre des morts, je vais au fond du saloir pour y cacher mes remors
Comme le courage et l’endurance sont les amies du Tour de France, J’ai une pensée pour les harengs rances que grignotaient ma tante Hortense
Je ne saurais te dire « je t’aime » comme faire une version ou un thème, je pense bien trop à l’arrosoir qui fertilise le lieu de mes rêves.
Je cherche au fond de l’armoire quelque vieux grimoire, qui me permettront de voir la vie comme un loir
Car je n’ai plus de miroir dans la chambre des morts, je vais au fond du saloir pour y cacher mes remors
Comme le courage et l’endurance sont les amies du Tour de France, J’ai une pensée pour les harengs rances que grignotaient ma tante Hortense
Je ne saurais te dire « je t’aime » comme faire une version ou un thème, je pense bien trop à l’arrosoir qui fertilise le lieu de mes rêves.
Et moi je me morfonds dans les tréfonds du subconscient, ne sachant ou aller, ne sachant ou passer
Je sais que la vérité n’est pas ou je la cherche, mais ou veux-je la chercher si je ne sais pas ou aller ?
Comment faire dans cette vie ou rien n’est possible, comment faire pour vivre quand le bleu est au vert ?
As-tu vu les étoiles, enveloppé dans une toile, as tu vu le tunnel, qui mène à l’éternel ?
Sais-tu c’que vit Marie, dans ce monde de bruit, sais-tu c’que vit Clémence dans ce monde d’intollerence ?
As-tu vu les étoiles, enveloppé dans une toile, as tu vu le tunnel, qui mène à l’éternel ?
Sais-tu c’que vit Marie, dans ce monde de bruit, sais-tu c’que vit Clémence dans ce monde d’intollerence ?
Sais-tu c’que vit Marie, dans ce monde de bruit, sais-tu c’que vit Clémence dans ce monde d’intollerence ?
Sais-tu c’que vit Marie, dans ce monde de bruit, sais-tu c’que vit Clémence dans ce monde d’intollerence ?
J’en ai marre de voir le regard des moutons hagards, j’en ai marre de voir la vie dans la nuit
Il est temps de faire la révolution, d’abandonner notre position sur l’inflation
La vérité n’est que chimère au bord de la mer, lorsque chantent les trouverts pour avoir un peu d’air
Qui pourrait confondre les anges de la terre, alors que vit en nous le sang de nos grand-mères ?
Qui saurait inhiber la puissance céleste du crapeau, lorsque ce dernier s’ébroue dans les flaques d’eau ?
La vérité n’est que chimère au bord de la mer, lorsque chantent les trouverts pour avoir un peu d’air
Les tripes du cochon sont elles bonnes avec des cornichons, à moins que les cornichons ne soient bons avec les tripes de cochon ?
Je destine ce message à celui qui ère, perdu tout seul dans les champs de bruyère
Sais-tu que le printemps, ce n’est qu’une question de temps, sais tu que l’été ce n’est pas le royaume des fées ?
Je ne vis que pour toi, je suis ton Chiwawa, sais-tu que sur la corniche il y a une aigrette qui niche ?
Le carrousel de la vie, ce n’est pas que du jus de fruit, ce que je peux te dire, c’est qu’il y a de l’amer dans l’air
Le carrousel de la vie, ce n’est pas que du jus de fruit, ce que je peux te dire, c’est qu’il y a de l’amer dans l’air
Le carrousel de la vie, ce n’est pas que du jus de fruit, ce que je peux te dire, c’est qu’il y a de l’amer dans l’air
Les germes du roseau sont toujours plus rapides hors de l'eau
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